Contenu

Lettre à ma fille qui veut porter le voile

Résumé
Présentation de l'éditeur : Aïcha, une mère d'origine algérienne qui s'est battue pour l'intégration et la liberté, s'adresse à Nawel, sa fille de 17 ans, qui a décidé de porter le voile. C'est une lettre intime mais c'est aussi un cri car Aïcha est en colère contre les discours qui manipulent les jeunes, contre les pouvoirs publics qui les ont laissé prospérer, contre les parents qui baissent les bras, mais aussi contre elle-même qui n'a rien vu venir. Alors, pour dissuader sa fille, elle aborde les questions brûlantes, celle de l'identité, de la foi, des rapports entre les hommes et les femmes, de l'indépendance. Elle ne recourt pas aux discours tout faits, ceux des idéologues et des politiques, mais s'efforce de réfléchir concrètement à ce que le voile engage dans la vie d'une femme. Une mère parle à sa fille. Ce texte, écrit en collaboration avec Sophie Troubac, a été conçu par la journaliste Leïla Djitli comme un docu-fiction. C'est à partir de ce qu'elle a pu patiemment observer sur un terrain qu'elle connaît bien, les banlieues, qu'elle a imaginé cette voix de mère combative, convaincante et, pour finir, bouleversante, la voix d'une femme qui parle à une autre femme...
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 3h. 33min.
Édition: Paris, Ed. de La Martinière, 2004
Numéro du livre: 15013
ISBN: 9782846751360
Collection(s): Doc en stock
CDU: 396

Documents similaires

Lu par : Danielle Crot
Durée : 2h. 8min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13236
Résumé:Dans Pourquoi sommes-nous en guerre, Norman Mailer dont il faut savoir qu'il fut sergent lors de la Seconde Guerre mondiale, ne se prive pas pour attaquer le gouvernement en place. Mais loin de se réduire à une charge pamphlétaire contre l'administration Bush et son prosélytisme guerrier teinté de puritanisme autoritaire, le texte (en réalité une allocution prononcée devant le Club du Commonwealth le 20 février 2003 à San Francisco) se veut surtout une auscultation fine et vigoureuse de la crise identitaire qui affecte les USA depuis de nombreuses années. Selon Mailer, la vraie explication de l'intervention irakienne prend sa source au moment des attentats du 11 Septembre, moment hyperbolique de la contestation de la toute-puissance américaine. Dès lors, la nécessité d'étouffer, à l'heure de la globalisation du monde, l'organisation terroriste Al-Qaida se convertit en l'urgence d'exporter une fois pour toutes le modèle démocratique américain pour répandre le Bien sur la planète et étendre l'Empire.
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 7h. 37min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 71245
Résumé:La fascination pour les oiseaux qui accompagne l’auteur depuis son enfance (une maladie qu’il appelle Birding Compulsive Disorder) est devenue un prétexte pour écrire sur l’art, la littérature, l’histoire et le cinéma. De quel oiseau-roi Mitterrand a-t-il voulu faire son dernier repas ? Quel est le lien de l’agent 007 avec l’ornithologie ? À quoi pensaient les oiseaux d’Hitchcock ? Quel effet l’amour de Jonathan Franzen pour les oiseaux a-t-il eu sur sa prose ? Bien entendu, l’auteur ne s’inspire pas uniquement de ses lectures ! C’est un homme de terrain et son texte est nourri de toutes ses expériences dans la nature, mais aussi en ville. Il y a désormais des millions de gens qui s’adonnent à l’observation des oiseaux. Pour beaucoup, c’est une passion dévorante et les cas d’agression, d’évanouissement ou de crise cardiaque ne sont pas rares sur le terrain. Lubienski n’a encore tabassé personne, son cœur est heureusement en bon état, mais comme son amour des oiseaux est excessif, il affronte sans se plaindre les conditions les plus inconfortables, jusqu’à être victime de la « malédiction du bruant », un mal qui frappe les amis des oiseaux…
Lu par : Alexandra Levy
Durée : 1h. 46min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 74680
Résumé:Un journal écrit pendant le confinement imposé par la pandémie de Covid-19. L'auteure exprime ses pensées, ses préoccupations et ses distractions.
Lu par :
Durée : 1h. 33min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 26643
Résumé:Deuxième volet des rencontres-lectures organisées par la Médiathèque Valentin Haüy durant le 1er semestre 2013. Tanguy Viel nous parle ici de son roman intitulé Paris-Brest.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 11h. 9min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 39699
Résumé:Tous les lecteurs de Jim Harrison connaissent son appétit vorace pour la bonne chère, les meilleurs vins et autres plaisirs bien terrestres qui irriguent son œuvre. Grâce à ce Sacré gueuleton, même les plus fidèles d’entre eux seront surpris de découvrir l’étendue de ses écrits sur le sujet. Rassemblés pour la première fois en un seul volume, ces articles publiés au fil de sa carrière ne se contentent pas de célébrer les plaisirs de la table. Savoureux quand il croque les travers comparés des critiques littéraires et des experts œnologues, féroce quand il brocarde l’affadissement du goût et la nourriture industrielle, Big Jim parle de gastronomie avec la même verve que lorsqu’il évoque la littérature, la politique, l’amour des femmes ou l’amour tout court. En chemin, il déroule des recettes toujours réjouissantes, parfois inattendues, et fait preuve d’un humour dévastateur à l’égard des pisse-vinaigres de tout poil. Parents, amis, écrivains, hommes politiques et personnages de roman se croisent au fil des pages pour composer un autoportrait du gourmand vagabond, une biographie en creux de l’auteur de Dalva, de Légendes d’automne et du Vieux Saltimbanque. Ce livre est un véritable festin littéraire qui comblera tous les appétits.
Lu par : Madiana Roy
Durée : 46min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 76443
Résumé:Un tête à tête passionnant avec Jennifer Tamas sur la relecture des contes après #MeToo. Après #MeToo, le baiser non consenti de la Belle au bois dormant n’est plus synonyme d’émerveillement, la Belle est victime du syndrome de Stockholm, et le Petit Chaperon rouge ne veut plus être défini par sa beauté. À revoir les films Disney de notre enfance, le constat est sans appel : les contes défendent les inégalités de genre. Les personnages féminins des contes de fées sont de jeunes femmes passives et un brin idiotes, tandis que leurs homologues masculins sont au contraire puissants et courageux. Mais est-ce aussi simple ? Doit-on nécessairement boycotter ces contes qui nous paraissent dépassés ? Ou peut-on déconstruire notre héritage ? Dans ce texte, Jennifer Tamas nous montre que les contes de fées ne sont pas voués à être jetés, mais doivent être relus, revisités, car ils nous éclairent sur notre société actuelle. Tout en dressant un portrait des inégalités de genre présentes dans les contes, elle rappelle le rôle de la conteuse et nous fait découvrir des personnages féminins forts écrits par des femmes. À travers de nombreux exemples cultes, Jennifer Tamas nous invite à redécouvrir les contes et à en tirer des leçons, pour apprendre à mieux vivre ensemble.
Durée : 1h. 22min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 32067
Résumé:Lettre de sa fille à René Goscinny. Elle décrit la rupture que sa mort a causé dans sa vie et celle de sa mère, les souvenirs qu'elle garde de lui, les pères de substitution dont elle s'est entourée, etc.
Lu par : Madiana Roy
Durée : 3h. 44min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 20938
Résumé:La langue française fourmille de références au monde animalier : facétieuses, ironiques, étonnantes, scientifiques, elles ne sont pas toujours employées à bon escient. Certes, il n'y a pas de quoi fouetter un chat, mais pour avoir un succès b?uf en société ou rire comme une baleine entre amis, ce joli petit recueil-loin d'être de la roupie de sansonnet-propose 300 expressions rares ou célèbres dont l'origine n'est pas forcément celle que l'on croit...
Durée : 8h. 32min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 71973
Résumé:Dans la vie d’un lecteur, certains auteurs occupent une place à part : lectures inaugurales, compagnons de tous les jours, sources auxquelles on revient. La collection « Les auteurs de ma vie » invite de grands écrivains d’aujourd’hui à partager leur admiration pour un classique, dont la lecture a particulièrement compté pour eux. « Les yeux rivés sur L’Idiot, mon père m’en déconseillait sévèrement la lecture : ’’Destructeur, démoniaque et collant, trop c’est trop, tu n’aimeras pas du tout, laisse tomber !’’ Il rêvait de me voir quitter ’’l’intestin de l’enfer’’, désignant ainsi notre Bulgarie natale. Pour réaliser ce projet désespéré, je n’avais rien de mieux à faire que de développer mon goût inné pour la clarté et la liberté, en français, cela va sans dire, puisqu’il m’avait fait découvrir la langue de La Fontaine et de Voltaire. Évidemment, comme d’habitude, j’ai désobéi aux consignes paternelles et j’ai plongé dans Dostoïevski. Éblouie, débordée, engloutie. » Julia Kristeva
Lu par : Pierre Biner
Durée : 9h. 13min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 34536
Résumé:"Je considère un livre, même le plus personnel, comme une oeuvre en partie collective...". Un livre sur le vie et l'oeuvre de Marguerite Yourcenar
Lu par : Jean Frey
Durée : 2h. 14min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13774
Résumé:Monique Verrey est née à Zurich en 1945 de parents lausannois. Elle est donc initiée à la culture allemande et française, respectivement par l'école et sa famille. En 1962, Monique Verrey quitte son milieu familial proche de celui de Zorn pour vivre pendant un an au Texas. Elle revient en Europe (Zurich et Madrid) de 1964 à 1968 pour des études de langues et de littérature romanes. Suite à son mariage, elle retraverse l'Atlantique pour enseigner avec son mari à New Heaven (Connecticut). C'est en 1975 que Fritz Zorn adresse une longue lettre à son ancienne amie d'études et confidente Monique Verrey en y joignant le récit ici publié. Malheureusement, la lettre-réponse arrivera trop tard. Monique Verrey, actuellement enseignante à l'Université de Montréal, permet aujourd'hui, en éditant ce texte, aux nombreux lecteurs de «Mars» d'appréhender dans toute sa complexité le personnage de Fritz Zorn. Le récit (Le premier Puzzle de Zurich) qui clôt ce livre démontre en revanche son talent littéraire.
Lu par : Jean Frey
Durée : 5h. 17min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13723
Résumé:Le Rideau , c'est ce "tissu de légendes" que Don Quichotte (mû par la plume inspirée de Cervantès) déchire afin que puissent s'engouffrer dans la béance les grands bretteurs du roman moderne. "Appliquée à l'art, relève Kundera, la notion d'histoire (...) ressemble à un voyage entrepris pour explorer des terres inconnues et les inscrire sur une carte. L'ambition du romancier est non pas de faire mieux que ses prédécesseurs, mais de voir ce qu'ils n'ont pas vu, de dire ce qu'ils n'ont pas dit. "Pour l'auteur, ce qui importe alors, c'est moins l'origine de "l'explorateur" que la qualité de son regard lorsqu'il le porte sur ces nouveaux paysages. D'où sa dénonciation d'une vision "provincialiste" de la littérature, qu'explique notamment la possessivité des nations à l'égard de leurs artistes. Kundera en sait quelque chose, lui qui fut parfois classé parmi les auteurs slaves. "Ce déplacement dans un contexte qui n'était pas le mien, je le vivais comme une déportation", souligne-t-il.